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Touché par la citation d’une petite fille qui sortit cette jolie phrase en mangeant une glace au chocolat, le chef se jura qu’un jour, s’il fondait sa propre maison, il l’appellerait « Ma Langue Sourit ». C’est ainsi que Cyril Molard, chef-propriétaire de « Ma langue sourit » et membre de l’Association Les Grandes Tables du Monde au Luxembourg, s’est installé dans une maison en bordure de forêt.
C’est l’histoire d’un Vosgien, fils de boucher et charcutier lui-même, formé par Guy Krenzer, ayant travaillé avec Emmanuel Renaut et Edouard Loubet avant d’arriver par hasard au Luxembourg. Il n’en est plus reparti, retrouvant ici les sapins de son enfance. Cyril Molard a fondé sa propre maison et y réalise une cuisine lisible et qui ne triche pas, très végétale mais sans oublier ses débuts.
« C’est une maison assez particulière avec une ambiance très rassurante. On a le souci du détail, dans la matière, les fleurs et la poterie sur table et les peintures de Stéphane Thomas. Et puis dans le jardin derrière le restaurant, on a mis un fumoir et des ruches. C’est un endroit silencieux et apaisant où je me sens bien. »
Avant de parler identité culinaire, on aborde avec Cyril Molard la thématique de l’engagement de son établissement. Et pour lui, cela commence par la saisonnalité : « C’est la base. Le premier critère qui compte. 90% de nos produits viennent des alentours. On travaille beaucoup avec Les Paniers de Sandrine, juste à côté à Munsbach, nous sommes amis depuis longtemps et je suis souvent dans son jardin. Ensuite, le Luxembourg a pas mal d’avance sur le plan environnemental, un côté germanique sans doute. Le tri sélectif est réalisé depuis longtemps et tous nos déchets alimentaires partent vers une usine qui les traite pour produire de l’énergie. »
C’est dans une ancienne gare devenue restaurant, à Ellange-Gare dans la Moselle
luxembourgeoise qu’officie le chef Daniel Rameau.
Ce vosgien d’origine, ancien président d’Eurotoques Luxembourg vous raconte ses débuts.
C’est baigné dans les odeurs de pain chaud, les souvenirs du four à bois et du dur labeur de son grand-père boulanger que s’insinue doucement en lui le virus de la profession. Ses parents tiennent un restaurant routier à Langres, dans lequel Daniel fait ses armes au côté de sa mère en cuisine.
Daniel suit ses parents à Longwy où ils reprennent le buffet de la gare et entre en apprentissage dans un grand hôtel de l’époque pour ensuite devenir le directeur de la salle à la Réserve du Mullerthal.
On lui propose alors de venir travailler en Belgique et Daniel se retrouve à travailler le jour au Foie Gras Artisanal qui fournissait les chefs belges de l’époque et le soir à la Cravache d’Or, un grand étoilé bruxellois alors sous les ordres d’Abel Bernard. Il côtoie Michel Beyls qui le formera en cuisine aux côtés de futurs grands noms comme Robert Kranenborg.
A la fin des années 70, Daniel se sent déjà l’âme d’un patron cuisinier, mais surtout, le Luxembourg lui manque. Il ouvre d’abord l’Hostellerie des Pêcheurs à Remich, lui en cuisine et sa femme Carine en salle, pour ensuite débarquer en décembre 1985 sur le quai de la gare d’Ellange.
Amateur de produits de luxe, comme le foie gras, le homard ou le pigeon, qu’il prépare avec toute la générosité de la tradition. La carte des vins étoffée est très attrayante, avec une belle sélection de vins comme les Vacqueyras des « Cardelines » Millésimes 2015 et 2016.
Alex et Hugues partagent une passion pour les produits de première qualité. Le premier a notamment un faible pour les charcuteries, tandis que le sommelier passionné déniche pour vous les meilleurs flacons. Le chef Alex est passionné de cuisine française classique et rend hommage à la tradition avec ses riches préparations et ses sauces intenses, comme la sole à l’ostendaise ou une subtile sauce nantua pour accompagner des quenelles de brochet. Le jardin romantique est le lieu idéal pour déguster cette savoureuse cuisine.
Le chef renommé Kevin Lejeune et son équipe vous invitent chaleureusement à La Canne en Ville, où la cuisine contemporaine et pure allie des saveurs à une présentation artistique.
Une cuisine légère à l’honneur. et une devise se reposant sur l’audace, la passion et l’équilibre, créant ainsi une expérience gastronomique unique.
Reconnu pour son talent exceptionnel, Kevin Lejeune s’est vu décerner sa première étoile Michelin en octobre 2020, témoignant de son engagement envers l’excellence culinaire.
Dans le prestigieux hôtel Steigenberger, sur l’avenue Louise, Le restaurant offre un décor design aux teintes de noir accentuées d’or et de cuivre. La Canne en ville propose une offre complète, de la luxueuse cave à vins au chariot à fromages
L’Écailler du Palais Royal a été fondé en 1967 par un célèbre restaurateur belge, Marcel Kreusch, qui s’est inspiré d’un restaurant londonien ne servant que du poisson, des crustacés et des crustacés.
Cette magnifique demeure a été construite au 17ème siècle et est située au cœur de la zone historique de Bruxelles,
dans le pittoresque quartier des antiquaires. Son histoire reflète l’histoire de la ville de Bruxelles, et plus précisément de ce lieu particulier nommé « le Sablon ».
Au service du summum de la gastronomie belge, dans un cadre élégant qui allie raffinement simple et tranquillité dans une atmosphère de club stylée et une attention constante aux détails dans le service.
La cuisine de L’ECAILLER DU PALAIS ROYAL s’inscrit dans une tradition d’excellence axée sur la qualité des produits et la générosité dans les assiettes
Embarquez dans l’univers artistique à part entière de la Brasserie Riva; un cadre minimaliste et convivial, au design épuré se mariant parfaitement avec l’esthétique marine. Découvrez une cuisine colorée, inspirée et innovante.
Les produits de la Maison sont choisis méticuleusement, sont de première qualité et travaillés avec respect.
